Forts de nos valeurs, en élus responsables, nous mettrons tout en œuvre pour que notre région ne soit pas en proie aux phénomènes de désordres et d’insécurité grandissants.
Pour nous, protéger c’est aussi assurer l’accès à la santé pour tous. Notre région est marquée par les déserts médicaux. Comment garantir le bien être des habitants, parfois vieillissants, ceux qui s’installent sans se préoccuper de l’offre de soins dans un délai et un rayon abordable.
Protéger, c’est encore soutenir notre agriculture, favoriser les circuits-courts et nos produits de qualité.
Protéger, c’est aussi garantir la complémentarité de nos territoires, c’est défendre nos savoir-vivre et nos traditions, c’est préserver la diversité de nos paysages et la richesse de notre patrimoine.
Un pacte régional de sécurité et de prévention de la délinquance
La Région fasse aux violences familiales
La santé
Soutien à notre agriculture
La défense de nos agriculteurs est pour nous la priorité des priorités. Les contraintes imposées par les Verts, et leurs alliés socialistes vont, si nous n’y mettons pas un coup d’arrêt définitif, conduire nos agriculteurs à leurs pertes.
Si nous les suivions, le risque c’est de ne plus pouvoir cultiver nos céréales faute d’irrigation, de tuer nos élevages de palmipèdes à foies gras, de mettre en péril notre filière bovine (blonde d’aquitaine, bazadaise, limousine, etc) tant leur radicalisme vert les aveugle.
Bien sur nous sommes conscients des transitions environnementales nécessaires. Encore faut-il qu’elles soient concertées, étalées dans le temps et soutenues financièrement.
Les agriculteurs ne sont pas des écologistes de salon, mais des écologistes experts comme le soulignent leurs représentants. Les agriculteurs sont les premiers écologistes et les premières victimes du changement climatique, et s’efforcent de répondre à plusieurs défis. Aidons les au lieu de les stigmatiser !
Défense du monde rural
Ces dernières années, la Région a de fait, laissé de côté certains territoires : enclavement routier, absence d’équipements publics, pertes de services. Nous y remédierons tant au plan des infrastructures que sur la gouvernance.
Sur la route
Sur le ferroviaire
Sur le Très Haut Débit (T.H.B.)
Sur la gouvernance et la proximité
Une nouvelle manière de gérer les relations entre les territoires et la Région
La crise sanitaire a mis le doigt sur les limites du modèle de production que nous connaissons depuis des décennies. La délocalisation et les pertes d’emplois qui s’y attachent, dévoilant ainsi des fragilités, y compris sur des secteurs stratégiques, si bien que la relocalisation est revenue au centre de débats.
Par ailleurs, l’économie de notre Région se caractérise par une prépondérance des T.P.E ( industrie, commerces et services, artisanat, construction). Ces entreprises représentent 95 % de la totalité des entreprises de la région, et n’émargent que pour 10% des aides au développement ( 20M€ sur 220M€).
Notre priorité est tournée vers la sortie de crise. Il nous faut répondre aux pertes d’emplois, à l’affaiblissement de nos entreprises et de nos commerces, à la montée des inégalités, au défi de l’équilibre territorial, et aux impératifs que nous impose le changement climatique. Une attention toute particulière et soutenue sera apportée à l’innovation et à la recherche. La formation, l’apprentissage doivent également être au cœur de nos préoccupations, et un effort de clarification s’impose pour mettre fin au gaspillage de fonds publics (entre 2016 à 2022, l’État et la Région Nouvelle-Aquitaine auront dépensé 1,65 milliard € sur la formation des demandeurs d’emplois au travers de multiples plans de formation, pour des résultats en terme de retour à l’emploi très médiocres).
Enfin, atout essentiel et enjeu majeur pour la Région Nouvelle-Aquitaine, la jeunesse est une richesse dont les potentialités doivent être accompagnées, mises en valeur et dynamisée.
Il en va de même pour la culture et le sport.
Sortir des discours, des plans qui ne débouchent sur rien, des règlements bureaucratiques : passer de l’incantation à l’action.
Economie-Formation-Emploi
Tourisme
– Soutenir les infrastructures immobilières touristiques
– Aider la création et le développement de l’offre touristique en développant de nouvelles offres, en améliorant la qualité de l’accueil et le parcours visiteurs.
– Digitaliser de l’offre touristique
– Valoriser nos espaces natures et communiquer sur le tourisme responsable
Formation professionnelle
Entre 2016 à 2022, l’État et la Région Nouvelle-Aquitaine auront dépensé 1,65 milliard € sur la formation des demandeurs d’emploi au travers de multiples plans de formations. Leurs résultats sont si médiocres, en termes de retour à un emploi pérenne, que la Chambre Régionale des Comptes a dressé un véritable réquisitoire contre ces mesures jugées inefficaces : un taux de retour à un emploi durable de 21 % pour les chômeurs de longue durée et les peu qualifiés.
Des fonds publics gaspillés, et des demandeurs d’emploi toujours au chômage.
Face à ce constat, notre engagement est clair : Un objectif professionnel-Une formation -Un résultat direct sur l’emploi. Nous mettrons en place des incitations financières en fonction de ses débouchés réels sur l’emploi.
Transition énergétique et écologique
Au dogmatisme radical des Verts qui ont fait prisonnier le président sortant, nous préférons la concertation et la co-construction de solutions territoriales.
Si nous partageons la nécessité de produire mieux, d’économiser nos ressources, de lutter contre le gaspillage, nous faisons le choix d’une transition apaisée pour y parvenir ensemble. Enfin, il nous faut rappeler ici notre soutien à la filière nucléaire et aux sous-traitants dans une stratégie d’énergie décarbonée. Ce qui précède ne doit pas nous exonérer d’un effort en matière de recherche d’un système électrique plus diversifié.
Par ailleurs, s’agissant de l’éolien terrestre nous sommes partisans à minima d’un moratoire et nous redisons notre opposition à l’utilisation de terres agricoles pour leur implantation.
Jeunesse
Culture
Sport
Nous souhaitons marquer notre engagement pour le sport en développant une politique ambitieuse, structurée autour de 3 compétences essentielles la formation, l’aménagement du territoire et le développement économique :